Chronique #61 : La biologie de l’amour !

J’ai eu le plaisir et l’honneur de signer la préface du 4e livre de l’ingénieur – chercheur Romain Gagnon, un livre tout aussi décapant que les trois premiers :
– Vers l’abrutissement de l’espèce humaine (2022)
– Et l’homme créa Dieu à son image
РVivre mince, gourmand et en sant̩

Ces trois livres remettent en questions toutes sortes de croyances qui circulent dans la société et parfois même dans la communauté scientifique. Croyances véhiculées en toute bonne foi, mais nullement fondées. Il porte aussi un regard critique sur l’idéologie du genre qui bouleverse actuellement notre société occidentale, en particulier la jeunesse et, surtout, les jeunes filles.

Le génie de Romain ? Il n’avance rien qui ne soit pas basé sur des données probantes, à quelques exceptions près. Vous y trouverez près de 400 références.

Cette fois-ci, il explore les bases instinctives, biologiques et hormonales du sentiment qui fait courir les foules : l’Amour. Tous les poètes, les philosophes et les psychologues parlent de ce sentiment que tous croient vital. Les chanteurs en ont fait leur principale source d’inspiration. Que de films tournés et de livres écrits à son sujet.

Voici les principaux thèmes abordés :
1. La sélection naturelle
2. L’origine des sexes
3. L’illusion du libre arbitre
4. L’hégémonie hormonale
5. La reproduction des gènes
6. Le dimorphisme sexuel
7. La compétition spermatique
8. L’infidélité et la jalousie
9. L’homosexualité
10. L’idéologie du genre

Au sujet du genrisme, il confirme ce que tout scientifique digne de ce nom sait :
– L’humain est le produit d’une évolution qui dure depuis des millions d’années ;
– Les différences homme – femme sont basées sur la nouvelle psychologie différentielle des sexes, au-delà de la recherche d’égalité homme – femme ;
– Le sexe, constaté à la naissance et non assigné, est biologique et le genre, masculin ou féminin, est une construction sociale variable ;
Il est impossible de changer de sexe car il faudrait modifier le 23e chromosome dans chacune des cellules corporelles. On peut toutefois changer son phénotype, jamais son génotype ;
– Comment savoir avec certitude que l’on nait dans le mauvais corps si on n’a jamais été dans l’autre sexe ;
– Depuis 10 ans, la demande de changement de sexe a augmenté de 4 000 % et est surtout le fait d’adolescentes dans 70 % des corps ;
РLe march̩ de la transition sexuelle est un business qui se chiffre en milliards de dollars ;
– La majorité des gens n’a pas à se soumettre à la sensibilité des minorités et de leur susceptibilité, tout en respectant ceux et celles qui souffrent de dysphorie de genre : ils ont besoin d’aide ;
– Le discours trans ne repose sur aucune base scientifique : il s’agit d’une tendance idéologique qui, comme bien d’autres, finira par passer ;
РDe plus en plus, les L (lesbiennes), G (gays) B (bisexuels) se distancent des T2QIA+ et des 106 autres identit̩s de genre.

Nul doute que Romain se fera taxer d’islamophobe, d’homophobe, de transphobe, d’extrême droite, d’antiféministe et bien d’autres épithètes parce qu’il a le courage de dire vraiment ce qu’il pense, tout en basant ce qu’il dit sur des données probantes moultes fois confirmées. Mais pour les théoriciens du genre, les wokes, les complotistes, les extrémistes de gauche ou de droite, la science n’existe pas ; c’est une manifestation des suprémaciste cisgenres blancs. Il risque le tribunal populaire des réseaux sociaux comme il a risqué une fatwa suite à son livre Et L’homme créa Dieu à son image.

Pour en savoir davantage, lisez mon infolettre d’octobre2023.